Nos missions

Personnes joignant leurs mains en cercle

Que fait Chiens d’Assistance Côte Ouest ?

Nous avons pour mission de faciliter le quotidien des personnes handicapées et de favoriser leur inclusion dans la société française. Pour ce faire, nous concentrons notre action autour de quatre axes principaux :

  • Sensibilisation du grand public au handicap invisible et au sujet des chiens d’aide à la personne (rôles, droits, formation…).
  • Intervention auprès des organismes privés et publics pour informer sur les droits des personnes handicapées, qu’elles soient ou non accompagnées d’un chien d’assistance ou guide.
  • Formation de chiens d’assistance directement auprès de leurs bénéficiaires. 
  • Accompagnement de nos bénéficiaires vers leur (ré)insertion sociale et professionnelle.

Afin de mener à bien ses missions de sensibilisation, Chiens d’Assistance Côte Ouest déploie une variété d’actions, telles que :

  • La mise à disposition gratuite de supports pédagogiques pour sensibiliser et informer.
  • La création de contenus éducatifs destinés à nos réseaux sociaux.
  • L’information détaillée sur le handicap et les chiens d’aide, disponible sur simple demande.
  • L’animation d’ateliers de sensibilisation lors d’événements (salons, Nuit du Handicap, forums…).
  • Des interventions pédagogiques dans les établissements publics et privés.
  • La sollicitation d’organismes privés et publics pour les sensibiliser aux droits des personnes handicapées et de leurs chiens guides ou d’assistance.
  • Et plus encore !

Vous souhaitez organiser une action de sensibilisation en partenariat avec Chiens d’Assistance Côte Ouest ? Contactez-nous par email à contact@chiens-dassistance-co.fr.

Ressources à télécharger

Découvrez ici des ressources gratuites à télécharger, utilisables à titre privé ou professionnel.

Ces supports ont pour objectif de vous aider au quotidien, ainsi que de sensibiliser et informer le grand public sur les questions liées au handicap, en particulier les handicaps invisibles, et au rôle des chiens d’assistance.
Ils sont régulièrement mis à jour pour vous offrir des informations pertinentes.

Cliquez sur les liens ci-dessous pour les télécharger ↴

Un homme étreint son golden retriever

Accompagnement et formation de chiens d’assistance

Chiens d’Assistance Côte Ouest accompagne des personnes autistes et/ou souffrant de stress post-traumatique dans l’éducation de leur propre chien d’assistance et dans leur parcours de (ré)insertion sociale et professionnelle.
Nous ne remettons pas de chiens d’assistance déjà formés.

Femme de dos, on ne voit pas sa tête, elle se serre l'abdomen

Le Handicap Invisible : qu’est-ce que c’est ?

Encore largement méconnus du grand public, les handicaps invisibles sont souvent incompris, minimisés voire même niés. Peu ou pas décelables à première vue, ils engendrent pourtant de nombreuses difficultés dans le quotidien des personnes concernées.

Le saviez-vous ?

En France, 80% des handicaps sont invisibles.
Cela représente 10 millions de personnes qui rencontrent des difficultés sans que cela soit apparent aux yeux des autres.

Souvent, l’entourage personnel et professionnel de ces personnes ne perçoit pas le handicap, à moins qu’elles n’en parlent. Cela mène fréquemment à des incompréhensions, voire à des doutes sur l’existence ou l’ampleur du handicap. Ces situations peuvent donner lieu à des remarques déplacées et à des actions validistes.

Parmi les handicaps invisibles, on retrouve notamment :

  • Les troubles du spectre autistique (TSA)
  • Les maladies chroniques et invalidantes (exemples : épilepsie, SEP, diabète, SED, maladie de Lyme, fibromyalgie, maladie de Crohn,…)
  • Les déficiences visuelles et/ou auditives
  • Certains troubles psychiques innés ou acquis (schizophrénie, bipolarité, dépression sévère, trouble anxieux généralisé, syndrome de stress post-traumatique, CNEP…)
  • Le TDAH
  • Les troubles dys
  • Et bien d’autres…

Les conséquences des handicaps invisibles sont nombreuses. Elles affectent tous les domaines de la vie des personnes qui en souffrent, qu’il s’agisse de la vie professionnelle, personnelle ou de leur santé mentale. Le manque de reconnaissance et la discrimination subie ajoutent encore des obstacles supplémentaires.

L’une des missions principales de Chiens d’Assistance Côte Ouest est de sensibiliser le grand public à la réalité du handicap invisible.
À travers nos actions, nous luttons contre le validisme et œuvrons pour une société plus bienveillante et inclusive.
Pour cela, nous organisons des interventions et proposons gratuitement des ressources à télécharger et partager.

Dossard de chien d'assistance

Les Chiens d’aide (chiens d’assistance ou guides)

Chiens d’Assistance Côte Ouest s’engage également à sensibiliser le grand public aux différents types de chiens d’aide à la personne.

Pour beaucoup, le terme « chien d’assistance » évoque principalement les chiens guides ou ceux qui aident des personnes utilisant un fauteuil roulant. Pourtant, il existe de nombreux types de chiens d’aide, qui assistent également des personnes ayant des handicaps invisibles.

Le saviez-vous ?

Parmi les différents chiens d’aide à la personne, on retrouve :

• Le chien d’assistance pour personne à mobilité réduite

Il aide la personne à réaliser des tâches quotidiennes difficiles à accomplir seule.
Exemples : ramasser un objet, aller chercher quelque chose, ouvrir ou fermer une porte, actionner un interrupteur…

• Le chien d’assistance psychiatrique

Il accompagne une personne porteuse de handicap mental, neuro-développemental ou psychique (exemple : syndrome de stress post-traumatique, TSA…).
Sa présence et sa formation spécifique permettent de soulager ou d’interrompre des symptômes invalidants et des comportements inadaptés. Il peut également accomplir des tâches classiques, comme rapporter des objets, etc…

• Le chien guide pour personne aveugle ou malvoyante

Il accompagne la personne dans ses déplacements, en toute sécurité et fluidité, et l’assiste dans les actions nécessitant la vue.
Le chien guide devient en quelque sorte « les yeux » de la personne qu’il assiste.

• Le chien écouteur pour personne sourde ou malentendante

Il aide la personne à gérer des situations liées à l’ouïe.
Exemples : signaler un réveil, indiquer la présence d’un son spécifique, alerter la personne en cas de danger (arrivée d’un véhicule, alarme incendie…).

• Le chien d’alerte et réponse médicales

Il accompagne des personnes souffrant de pathologies entraînant des crises (épilepsie, diabète, POTS…).
Grâce à son odorat, il détecte l’arrivée d’une crise plusieurs minutes avant son apparition et prévient son bénéficiaire par une action spécifique.
Il peut également réaliser des tâches précises durant et après la crise.
Exemples : aller chercher un téléphone ou des médicaments, appuyer sur un bouton d’alerte, caler son museau sous la nuque de la personne en crise ou se coucher sur elle…

• Le chien d’éveil

Il aide des enfants atteints de TSA, trisomie 21, déficiences visuelles ou polyhandicap.
Il soutient l’acquisition de compétences (comme l’apprentissage de la marche), stimule la mobilité et favorise l’éveil et l’apaisement de son jeune bénéficiaire.
Sa présence peut aussi améliorer la cohésion familiale.

Tous les chiens d’aide à la personne augmentent l’autonomie de leurs bénéficiaires, tout en leur offrant un sentiment de sécurité et un soutien moral précieux.
Autre avantage étonnant : leur présence peut favoriser l’insertion sociale. Leur savoir-faire et leur autorisation d’accès dans des lieux habituellement interdits aux chiens facilitent les interactions et les échanges sociaux.

Il existe un autre type de chien d’aide : chien d’accompagnement social (ou chien médiateur). Il intervient auprès de plusieurs personnes sur une période déterminée, généralement dans un cadre institutionnel (hôpitaux, IME, EHPAD, établissements scolaires, prisons, foyers…).
Il joue un rôle de médiation et d’accompagnement au sein de ces environnements.

Homme jouant avec son labrador noir

Qui peut bénéficier d’un chien d’aide ?

Pour bénéficier d’un chien d’aide, plusieurs conditions doivent être réunies :

  • Avoir un handicap reconnu par un professionnel de santé
  • Être titulaire d’une CMI (Carte Mobilité Inclusion) mention priorité ou invalidité
  • Rencontrer des difficultés pouvant être allégées par le travail d’un chien d’aide
  • Avoir un état de santé compatible avec le fait d’avoir un chien
  • Être en mesure de répondre aux besoins primaires, physiques, mentaux et affectifs du chien tout au long de sa présence à vos côtés
  • Vivre dans un environnement stable et sécurisé

À noter que d’autres conditions peuvent être exigées par certaines associations.

Chiot golden retriever qui court dans un jardin au coucher du soleil

Quels chiens peuvent devenir chiens d’aide ?

Les chiens de toutes races (hors catégories 1 et 2) et de tous horizons peuvent devenir chiens d’aide.
Cependant, tous ne sont pas aptes à réaliser une telle mission.

Un chien d’aide doit avoir plusieurs aptitudes physiques et mentales compatibles avec son activité.

Aptitudes physiques

Un chien d’aide doit être en excellente santé, sans handicap ni particularité pouvant rendre son travail inconfortable ou risqué.
À ce titre, il est fortement déconseillé d’avoir un chien d’aide brachycéphale. leur morphologie cause souvent des problèmes respiratoires et une mauvaise tolérance à la chaleur.
Exemples : Cavalier King Charles, Bouledogue, Carlin, Boxer, Shih-tzu…

• Un gabarit adapté à sa mission

→ Un chien guide doit être assez haut pour bien guider la personne qu’il accompagne.
→ Un chien devant faire de la pressothérapie doit être suffisamment lourd.
→ Un chien d’assistance à la mobilité doit être assez haut, large et musclé pour réaliser cette mission sans danger.
→ Etc…

• Des caractéristiques adaptées au/à la bénéficiaire

→ Une personne allergique privilégiera une race hypoallergénique (ex : Caniche royal).
→ En cas de difficultés motrices rendant le toilettage difficile, une race à poil court (ex : Labrador) sera préférable.
→ En cas de difficultés et aversions sensorielles, on choisira une race au pelage et aux vocalisations adaptés.
→ Etc…

Le chien d’aide peut être un chien de pure race ou non.
Il est recommandé d’opter pour un chien issu d’un élevage sérieux (santé testée, bonne socialisation, ascendance connue), pour limiter les risques physiques et maximiser les chances de succès.
Cependant, acheter un chien en élevage peut poser un problème éthique. Certaines personnes préfèrent donc se tourner vers des chiots (ou chiens) issus de refuges.

Le grand public connaît peu les chiens d’assistance. Un chien croisé, petit ou atypique est souvent source de refus d’accès ou de jugements injustes.
💡 Il est donc crucial de prendre en compte ce facteur social au moment de choisir son futur compagnon, pour éviter les situations anxiogènes au quotidien.

Chiot golden retriever avec un collier rouge

Aptitudes mentales

Les chiens d’aide doivent posséder des aptitudes mentales spécifiques pour garantir leur bien-être, la sécurité du binôme et la fiabilité de leur travail.

• Bonne santé mentale

Un chien d’aide est un être vivant doué de sentiments.
En cas de problème de santé mentale, il faut identifier la cause et lui offrir les soins nécessaires. Un mauvais état émotionnel doit être pris au sérieux, pas ignoré.

• Capacité à être calme

Ils doivent savoir rester calmes au travail, observer sans interagir, et attendre patiemment.
Leur temps de détente (jeux, promenades, repos) doit excéder le travail pour leur bien-être.

• Patience, résilience et sociabilité

Ils doivent accepter les interactions non consenties (humains ou autres animaux) et ne pas développer de stress ou de comportements indésirables face à celles-ci.

• Capacité d’apprentissage et de réflexion

Un chien d’aide apprend intensivement pendant 24 mois. Il doit être capable d’apprendre rapidement et de réfléchir face à des situations complexes.

• Enthousiasme pour l’apprentissage et le travail

Le chien doit prendre plaisir à apprendre et à travailler. Chaque tâche devant être vue comme si positive qu’elle vaut la peine de s’activer immédiatement, peu importe le contexte.

• Absence d’agressivité en situation stressante

Même face au stress, un chien d’aide doit rester calme et non agressif.
Il n’en demeure pas moins un être sensible qui peut avoir peur. Dans ces cas-là, il convient de l’aider plutôt que de le blâmer.

Border collie noir et blanc assis dans les fougères oranges d'automne

La formation des chiens d’aide à la personne

Il existe 3 parcours permettant à un chien de devenir chien d’aide.

Éducation et remise par une structure

En France, plusieurs associations forment et remettent gratuitement des chiens d’aide éduqués.

Les parcours éducatifs de ces chiens varient en fonction de leurs spécialités, mais ils suivent généralement les mêmes étapes :

  • De 0 à 2 mois, le chiot est pré-sélectionné dans son élevage par des éducateurs canins spécialisés.
  • À 2 mois, le chiot est placé en famille d’accueil. Cette dernière se charge de sa socialisation, de l’apprentissage de la propreté, et de l’éducation de base. Elle est chargé de faire de lui le « parfait chien de compagnie », ouvert au monde et bien dans ses pattes. L’association responsable de la formation du chien soutient la famille d’accueil à travers des visites et des cours réguliers.
  • Entre 12 et 18 mois, le chien quitte sa famille d’accueil et rejoint le centre d’éducation. Il y apprend les tâches spécifiques à sa future mission. À l’issue de cette période de formation, le chien passe son certificat d’aptitudes.
  • Entre 18 et 24 mois, le chien certifié est remis à son/sa bénéficiaire. Cette remise se fait sur plusieurs jours, durant lesquels la personne handicapée apprend à travailler avec son chien sous la supervision de l’association.

Les associations de formation et remise restent propriétaires des chiens. À l’heure de la retraite (ou de la réforme), les bénéficiaires peuvent adopter leurs compagnons. Si ce n’est pas possible pour eux, les associations s’assurent de trouver une nouvelle famille adaptée à leurs chiens.

Certaines associations d’éducation et de remise sont labellisées par l’État.
Avoir un chien d’aide issu d’un centre labellisé donne certains avantages, dont :

  • Une meilleure reconnaissance globale
  • Un risque de refus d’accès moins élevé, notamment auprès des grandes compagnies de transport
  • Le droit à la PCH Animalière (sous conditions)

Parmi les associations de formation et de remise gratuite, on retrouve, entre autres :

Éducation « owner-training »

Dans le cadre de l’owner-training, c’est la personne handicapée elle-même qui prend en charge la formation de son chien d’assistance.

Ce mode de formation n’est pas adapté à tout le monde. Il nécessite des compétences spécifiques, une rigueur sans faille et une grande patience. Former son propre chien d’aide est un processus long, pouvant durer plusieurs années. C’est un travail particulièrement exigeant, tant sur le plan physique que mental. L’engagement nécessaire est conséquent, et cela peut rapidement devenir épuisant.

De plus, l’éducation en owner-training peut représenter un coût financier élevé (séances d’éducation canine, matériel, formation de la personne…).

Éducation partagée

La personne handicapée fait appel fait appel à une association spécialisée pour l’accompagner dans la formation de son chien d’assistance.

À mi-chemin entre la remise classique et l’owner-training, la formation se déroule directement auprès du ou de la bénéficiaire, tout en étant pleinement encadrée par l’association.

Le parcours de formation varie selon le chien, le fonctionnement de l’association, ainsi que les capacités du ou de la bénéficiaire.

Chiens d’Assistance Côte Ouest est une association spécialisée dans l’éducation partagée.
Bien plus qu’une simple méthode de formation, l’éducation partagée constitue une véritable thérapie pour les personnes que nous accompagnons. En participant activement à la formation de leur chien, elles retrouvent confiance en elles et renouent un lien avec le monde qui les entoure.

Chien labradoodle regardant l'extérieur depuis la fenêtre d'une voiture

Chiens d’aide : un statut unique accordant des droits particuliers

Les chiens d’aide éduqués (« certifiés ») ou en cours d’éducation sont reconnus de la même manière par la loi française.
Ils possèdent des droits spécifiques que n’ont pas les chiens de compagnie.

Autorisation et gratuité d’accès

Les chiens d’aide à la personne peuvent accompagner leurs bénéficiaires partout (sauf en salle de soin), sans surcoût.

Loi n°87-588 du 30 juillet 1987 portant diverses mesures d’ordre social – Article 88

« L’accès aux transports, aux lieux ouverts au public, ainsi qu’à ceux permettant une activité professionnelle, formatrice ou éducative est autorisé aux chiens guides d’aveugle ou d’assistance accompagnant les personnes titulaires de la carte “mobilité inclusion” portant les mentions “invalidité” et “priorité” mentionnée à l’ article L. 241-3 du code de l’action sociale et des familles ou la personne chargée de leur éducation pendant toute leur période de formation. 
La présence du chien guide d’aveugle ou d’assistance aux côtés de la personne handicapée ne doit pas entraîner de facturation supplémentaire dans l’accès aux services et prestations auxquels celle-ci peut prétendre. »

Les refus d’accès (refuser l’entrée à une personne et à son chien d’aide) sont punis par la loi.

Code de l’action sociale et des familles – Article R241-23

« L’interdiction des lieux ouverts au public aux chiens guides d’aveugles et aux chiens d’assistance mentionnés au 5° de l’article L. 245-3, qui accompagnent les personnes titulaires de la carte mobilité inclusion comportant les mentions : “ invalidité ” ou “ priorité pour personnes handicapées ” mentionnées à l’article L. 241-3, de la carte d’invalidité mentionnée à l’article L. 241-3 et de la carte de priorité mentionnée à l’article L. 241-3-1 dans leur rédaction antérieure au 1er janvier 2017, est punie de l’amende prévue pour les contraventions de la 3e classe. »

Dispense de muselière

Les chiens d’aide sont dispensés du port de la muselière.

Code rural et de la pêche maritime – Article L211-30

« Les chiens accompagnant les personnes handicapées, quel que soit le type de handicap, moteur, sensoriel ou mental, et dont les propriétaires justifient de l’éducation de l’animal sont dispensés du port de la muselière dans les transports, les lieux publics, les locaux ouverts au public ainsi que ceux permettant une activité professionnelle, formatrice ou éducative. »

Une aide supplémentaire auprès de la MDPH

Certains bénéficiaires de chiens d’aide peuvent obtenir, sous certaines conditions, la Prestation de Compensation du Handicap (PCH) « Aide Animalière ».

Cette PCH, d’un montant de 50€/mois, est destinée à l’entretien du chien d’aide (nourriture, soins…). Elle doit être demandée auprès de la MDPH et est accordée pour une durée maximale de 3 à 10 ans.

Attention toutefois : la loi indique clairement que pour avoir droit à la PCH « Aide Animalière », le chien d’aide doit être issu d’un centre labellisé (Code de l’action sociale et des familles – article L245-3 modifié par la Loi n°2005-102 du 11 février 2005 – art. 12 JORF 12 février 2005).

Il est impossible de prétendre à cette PCH si on bénéficie d’un chien d’aide remis par une entité non labellisée ou ayant été éduqué en owner-training.